Boys Next Door

Parce que je suis, après tout, Yaoi-chan ^__^







Auteur : Kaori Yuki




Résumé :

Instituteur sérieux et attentionné, Adrian, torturé par un passé lourd en souffrance, se transforme en tueur en série lorsque vient le soir. Sa spécialité : les prostitués.
Un jour un jeune homme du nom de Lawrence, lui-même prostitué, est témoin d’un des meurtres d’Adrian. Celui-ci prit de panique laisse une preuve sur les lieux du crime. Lawrence parvient donc à le retrouver sans peine. Adrian croit tout d’abord que le jeune homme veut le faire chanter mais il n’est point question de cela : le seul désir de Lawrence est d’être enfin libre.






Dans la catégorie « chef d’œuvres » je voudrais le numéro 1…
Bon d’accord…
Pas tout à fait numéro 1 ! mais pour le coup je ne trouve pas de manga que je préfère à celui-là. J’ai beau adoré les séries, mes mangas préférés sont très souvent des One-Shots (ou des séries très courtes)… On comptera parmis eux « The River’s Edge », « Kaine » , « Asian Beat » , « Kagen no Tsuki » par exemple….Et « Boys next door ».

Clairement « Boys next door » est le manga de Kaori Yuki que je préfère. Oui, même avant « Angel Sanctuary ». Pourquoi ?

Bon, quand on parle de Kaori Yuki, inutile de préciser que les dessins sont superbes…mais allez, je le fais tout de même : les dessins sont superbes ! ! !

Ensuite l’histoire elle-même est juste magnifique ! c’est une des plus belles histoires d’amour qu’il m’ait été donné de lire. Les personnages sont atypiques et se complètent parfaitement. Ils s’aiment tellement que cela finit par un meurtre…(je ne spoile pas, rassurez-vous, tout cela est au début du manga. J’ai pour principe de ne pas donner les fins ^^) Les histoires d’amours tragiques, où tout finit mal parce que l’on s’aime trop, j’adore ! De toute façon, c’était clair , cette histoire ne pouvait PAS finir bien.

J’ai plusieurs fois eu envie de pleurer en le lisant, j’ai fini par craquer sur les trois dernières pages (dont je ne vous livre évidemment pas le contenu).

L’histoire a en plus cette noirceur qui caractérise les œuvres de Kaori Yuki. Entre le prince nécrophile de « Ludwig Kakumei », le chanteur suicidaire/meurtirer de « Kaine » et les histoires de « Comte Caïn », … bref les histoires de Kaori Yuki sont toujours un peu glauques et sombres. Mais ici, cette noirceur est poussé à l’extrême, servie par le style fin et gothique de l’auteur.


En gros cette histoire avait tout pour me plaire : elle est sombre, romantique, et dessinée à la perfection ! Bref, j'adore


Yaoi-chan powa Chunyuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuu !!!